Un temps d’arrêt a commencé le Dimanche 15 mars, c’était le jour de mon anniversaire. Ma soeur était venue me rendre visite à cette occasion. Vous vous souvenez sans doute de ce jour où notre gouvernement a fermé tous les bars et les restaurants, première mesure avant un confinement généralisé ! Aucun restaurant ouvert pour nous accueillir !
La bonne chose de tout ceci, c’est que je me souviendrai sans doute mieux de cet anniversaire que de la plupart de ceux qui ont précédés ! Alors merci !
Je n’écris pas cet article pour vous dire ce que je pense de cette mascarade qui fait un bien fou à notre chère GAIA. Et j’en suis tellement ravie pour elle.
Non, j’écris ce matin pour vous communiquer tout mon amour car je sais que beaucoup doivent avoir du mal, étant confinés chez eux dans des conditions pas forcément idéales. Je pense à ceux qui n’ont pas de jardin, à ceux dont les entreprises ont fermées ! Ceux qui vont peut-être perdre leur travail, leur entreprise. Et bien sur, je pense aussi à tous ceux qui sont obligés d’aller travailler alors qu’ils ont peut-être la peur au ventre.
Un temps d’arrêt pour se retrouver
Que dois-ton faire dans ces cas-là ? Ma mère devant ce déploiement d’autorité se sent tout à fait à sa place, elle aime l’autorité. Elle a toute sa vie fait en sorte que ses proches lui obéissent. Aujourd’hui seule chez elle, subir l’autorité la comble. Cela lui donne de nouveau du courage pour aller travailler dans son jardin puisqu’elle ne peut plus vaquer à ses activités et se promener !!! Elle vit le confinement avec une grande joie ! Etonnant non ?
Pour ma part, subir l’autorité n’est pas ce qui m’épanouie le plus. Je trouve qu’en France nous vivons dans une dictature insidieuse et malsaine. Et ces mesures jouant sur les peurs des gens me désolent au plus haut point.
Je ne comprends pas pourquoi les gens subissent toutes ses pressions. Hier quand je suis allée faire les courses, les caddies étaient plein à ras bord et certains rayons étaient presque vides. Nous sommes dans un pays qui vit dans une abondance indécente. Comment peut-on encore avoir peur de manquer ?
Un temps d’arrêt pour guérir
Lorsque j’étais dans ma 21e année, j’ai contracté la tuberculose et j’ai été confinée dans une chambre d’hôpital pendant 1 mois. Il m’a semblé tout à fait normal de ne pas contaminer les autres. Mais là, ceux sont les biens portants que nous confinons. On va même jusqu’à les priver de faire du footing dehors tout seul dans la nature !!! Ne marche-t-on pas sur la tête !?!!
A côté de ça, on ne teste pas les plus fragiles, on ne distribue pas de masque ou de gants de protection aux personnes ayant une activité à risque et on laisse les personnes âgées seules chez elle démunies. On leur demande même d’avoir un laisser-passer écrit à l’encre et de le refaire tous les jours ! La plus part n’ont pas d’imprimante chez elles et en vieillissant écrire n’est pas toujours une action facile à réaliser. De plus les postes sont fermées et il est interdit de voir ne serait-ce que notre voisin ??
Le gouvernement sème la peur et paralyse tout le pays. Etrange pour le moins.
Je sais qu’il y a une bonne chose dans toute réalité que l’on vit. Je ne céde pas à la peur et je continue mon petit train train comme avant. Je me centre sur ce qui est bon pour moi encore plus qu’à l’habitude, sur les actions qui me semblent juste.
Un temps d’arrêt pour voir ailleurs
Hier, j’ai vu un reportage sur l’eau sur Arte, un reportage plein d’espoir. Et il y a aussi d’autres reportages très intéressants comme : La magie du cosmos, l’illusion du temps… toujours sur Arte.
J’avance sur mon projet d’avoir un lieu d’accueil et de création convivial et protecteur afin que chacun puisse s’y retrouver et y trouver l’inspiration.
Les artisans qui ont répondu à mon appel ont parfois perdu un ouvrier qui profite des annonces gouvernementales ou qui a vraiment peur de la menace qui apparemment a envahie notre pays… Ils ont souvent du mal à trouver les matériaux pour travailler. Ils refusent de ne pas avancer et ne cèdent pas à la peur et je les en remercie. Quel bonheur, quelle ambiance enveloppante de paix règne ici.
Et si ce moment était justement une chance pour réfléchir à nos conditions de vie, de travail, à ce que nous avons envie de vivre tout simplement.
Et si une chose meilleure nous attendait ?
C’est l’espoir et la foi en un monde meilleur qui me pousse à prendre la plume ce matin. Profitons de nous recentrer et de nous accorder un merveilleux temps de paix au plus profond de notre coeur. Ne cédez pas aux inquiétudes, restez serein, forcément du bon sortira de cette grosse manipulation gouvernementale.
Avoir confiance et se recentrer sur ce qui nous fait plaisir, avec les personnes qui nous font du bien. Profiter pleinement de la nature si cela est possible. Il n’y a que vous qui savez ce qui vous convient, il n’y a qu’au fond de notre coeur que nous pouvons trouver la paix. Suivons le flux de ce qui nous fait vibrer. Vous seul pouvez savoir ce que vous aimez. Suivre ce chemin et ne plus écouter les paroles anxiogènes de panique, quelle qu’elles soient.
Vous verrez que tout ira bien.
Le président nous disait en guerre et moi je ressens de plus en plus de paix autour de moi et en moi.
Et vous, que ressentez-vous tout au fond de votre coeur ? Ecoutez autour de vous, qu’entendez-vous ? Entendez-vous la guerre ?
Je vous glisse un joli message plein d’espoir d’une confinée de Venise. Et si la vie s’organisait différemment ?
Isabelle 😉
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Oh, au fait !
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Merci
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